L'open espèce du concepteur rédacteur

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L'open espèce du concepteur rédacteur

Oiseau rare pour les uns, curiosité pour les autres, le concepteur rédacteur fascine autant qu’il trouble. Maillon indispensable de la chaîne publicitaire, il exerce ses talents en tant que chasseur-cueilleur d’idées, n’écoutant que son instinct pour assurer sa survie. 

Sensiblement inadapté à la vie en société, il n’en est pas moins un remarquable artisan. Capable de saisir dans l’apparente banalité des choses ce qu’elles renferment de plus précieux. Spectateur aguerri, il contemple d’un œil rêveur le ballet quotidien du vivant à l’affût de sens cachés.

Encore méconnu à ce jour, le concepteur rédacteur agit dans l’ombre, narrant des histoires dont il ne sera jamais le héros. Un destin qu’il partage avec sa moitié, son alter ego créatif, portant le titre tout aussi épique de directeur artistique.

Ensemble, ils sont les messagers d’un monde fait de logos pas assez gros et d’accroches trop longues. Un monde en perpétuelle création, capricieux, intransigeant et souvent injuste. Un monde où les idées naissent, s’épanouissent et meurent.

Idéalement parfois, le miracle s’opère. L’idée devient un concept, le concept une annonce. Bien menée, cette annonce partira à la rencontre de son public dans l’espoir d’être regardée et aimée.


Seulement voilà, la publicité n’intéresse personne. Le passant surpris par la pluie ne se réfugie pas sous un abribus pour admirer les courbes de la nouvelle égérie Guerlain. Le fidèle téléspectateur ne s’installe pas devant son poste pour dîner avec ses amis les produits laitiers. L’employée de bureau coincée dans les bouchons n’allume pas sa radio pour entendre Bruce Willis lui parler dentition canine. 

Pourtant, la publicité continue de façonner le paysage urbain et notre quotidien, allant même jusqu’à s’inviter dans l’intimité de nos foyers comme une vieille amie névrotique en mal d’attention. 

Alors pourquoi la laissons-nous faire ? Parce que, bien des fois et malgré son caractère invasif, la publicité nous touche. Parce qu’au-delà des contes mercantiles, c’est d’abord notre histoire que la publicité raconte. La publicité, la vraie. Celle qui nous connaît mieux que personne et qui s’amuse avec nous de nos déboires et de nos bonheurs quotidiens. 

Une publicité sincère, créative et juste, qui donne plus qu’elle ne réclame. Une publicité qui donne de l’espoir, du sourire, de la beauté et surtout qui nous donne à réfléchir et à agir pour ce qui compte vraiment.

Une nouvelle conception de la publicité donc, qu’il nous reste encore à écrire

HC

Stéphane Caoki

Date de publication

29 juin 2021

Durée de lecture

10

minutes

Oiseau rare pour les uns, curiosité pour les autres, le concepteur rédacteur fascine autant qu’il trouble. Maillon indispensable de la chaîne publicitaire, il exerce ses talents en tant que chasseur-cueilleur d’idées, n’écoutant que son instinct pour assurer sa survie. 

Sensiblement inadapté à la vie en société, il n’en est pas moins un remarquable artisan. Capable de saisir dans l’apparente banalité des choses ce qu’elles renferment de plus précieux. Spectateur aguerri, il contemple d’un œil rêveur le ballet quotidien du vivant à l’affût de sens cachés.

Encore méconnu à ce jour, le concepteur rédacteur agit dans l’ombre, narrant des histoires dont il ne sera jamais le héros. Un destin qu’il partage avec sa moitié, son alter ego créatif, portant le titre tout aussi épique de directeur artistique.

Ensemble, ils sont les messagers d’un monde fait de logos pas assez gros et d’accroches trop longues. Un monde en perpétuelle création, capricieux, intransigeant et souvent injuste. Un monde où les idées naissent, s’épanouissent et meurent.

Idéalement parfois, le miracle s’opère. L’idée devient un concept, le concept une annonce. Bien menée, cette annonce partira à la rencontre de son public dans l’espoir d’être regardée et aimée.


Seulement voilà, la publicité n’intéresse personne. Le passant surpris par la pluie ne se réfugie pas sous un abribus pour admirer les courbes de la nouvelle égérie Guerlain. Le fidèle téléspectateur ne s’installe pas devant son poste pour dîner avec ses amis les produits laitiers. L’employée de bureau coincée dans les bouchons n’allume pas sa radio pour entendre Bruce Willis lui parler dentition canine. 

Pourtant, la publicité continue de façonner le paysage urbain et notre quotidien, allant même jusqu’à s’inviter dans l’intimité de nos foyers comme une vieille amie névrotique en mal d’attention. 

Alors pourquoi la laissons-nous faire ? Parce que, bien des fois et malgré son caractère invasif, la publicité nous touche. Parce qu’au-delà des contes mercantiles, c’est d’abord notre histoire que la publicité raconte. La publicité, la vraie. Celle qui nous connaît mieux que personne et qui s’amuse avec nous de nos déboires et de nos bonheurs quotidiens. 

Une publicité sincère, créative et juste, qui donne plus qu’elle ne réclame. Une publicité qui donne de l’espoir, du sourire, de la beauté et surtout qui nous donne à réfléchir et à agir pour ce qui compte vraiment.

Une nouvelle conception de la publicité donc, qu’il nous reste encore à écrire

HC

Stéphane Caoki

Date de publication

29 juin 2021

Durée de lecture

10

minutes

Oiseau rare pour les uns, curiosité pour les autres, le concepteur rédacteur fascine autant qu’il trouble. Maillon indispensable de la chaîne publicitaire, il exerce ses talents en tant que chasseur-cueilleur d’idées, n’écoutant que son instinct pour assurer sa survie. 

Sensiblement inadapté à la vie en société, il n’en est pas moins un remarquable artisan. Capable de saisir dans l’apparente banalité des choses ce qu’elles renferment de plus précieux. Spectateur aguerri, il contemple d’un œil rêveur le ballet quotidien du vivant à l’affût de sens cachés.

Encore méconnu à ce jour, le concepteur rédacteur agit dans l’ombre, narrant des histoires dont il ne sera jamais le héros. Un destin qu’il partage avec sa moitié, son alter ego créatif, portant le titre tout aussi épique de directeur artistique.

Ensemble, ils sont les messagers d’un monde fait de logos pas assez gros et d’accroches trop longues. Un monde en perpétuelle création, capricieux, intransigeant et souvent injuste. Un monde où les idées naissent, s’épanouissent et meurent.

Idéalement parfois, le miracle s’opère. L’idée devient un concept, le concept une annonce. Bien menée, cette annonce partira à la rencontre de son public dans l’espoir d’être regardée et aimée.


Seulement voilà, la publicité n’intéresse personne. Le passant surpris par la pluie ne se réfugie pas sous un abribus pour admirer les courbes de la nouvelle égérie Guerlain. Le fidèle téléspectateur ne s’installe pas devant son poste pour dîner avec ses amis les produits laitiers. L’employée de bureau coincée dans les bouchons n’allume pas sa radio pour entendre Bruce Willis lui parler dentition canine. 

Pourtant, la publicité continue de façonner le paysage urbain et notre quotidien, allant même jusqu’à s’inviter dans l’intimité de nos foyers comme une vieille amie névrotique en mal d’attention. 

Alors pourquoi la laissons-nous faire ? Parce que, bien des fois et malgré son caractère invasif, la publicité nous touche. Parce qu’au-delà des contes mercantiles, c’est d’abord notre histoire que la publicité raconte. La publicité, la vraie. Celle qui nous connaît mieux que personne et qui s’amuse avec nous de nos déboires et de nos bonheurs quotidiens. 

Une publicité sincère, créative et juste, qui donne plus qu’elle ne réclame. Une publicité qui donne de l’espoir, du sourire, de la beauté et surtout qui nous donne à réfléchir et à agir pour ce qui compte vraiment.

Une nouvelle conception de la publicité donc, qu’il nous reste encore à écrire

HC

Stéphane Caoki

Date de publication

29 juin 2021

Durée de lecture

10

minutes

Oiseau rare pour les uns, curiosité pour les autres, le concepteur rédacteur fascine autant qu’il trouble. Maillon indispensable de la chaîne publicitaire, il exerce ses talents en tant que chasseur-cueilleur d’idées, n’écoutant que son instinct pour assurer sa survie. 

Sensiblement inadapté à la vie en société, il n’en est pas moins un remarquable artisan. Capable de saisir dans l’apparente banalité des choses ce qu’elles renferment de plus précieux. Spectateur aguerri, il contemple d’un œil rêveur le ballet quotidien du vivant à l’affût de sens cachés.

Encore méconnu à ce jour, le concepteur rédacteur agit dans l’ombre, narrant des histoires dont il ne sera jamais le héros. Un destin qu’il partage avec sa moitié, son alter ego créatif, portant le titre tout aussi épique de directeur artistique.

Ensemble, ils sont les messagers d’un monde fait de logos pas assez gros et d’accroches trop longues. Un monde en perpétuelle création, capricieux, intransigeant et souvent injuste. Un monde où les idées naissent, s’épanouissent et meurent.

Idéalement parfois, le miracle s’opère. L’idée devient un concept, le concept une annonce. Bien menée, cette annonce partira à la rencontre de son public dans l’espoir d’être regardée et aimée.


Seulement voilà, la publicité n’intéresse personne. Le passant surpris par la pluie ne se réfugie pas sous un abribus pour admirer les courbes de la nouvelle égérie Guerlain. Le fidèle téléspectateur ne s’installe pas devant son poste pour dîner avec ses amis les produits laitiers. L’employée de bureau coincée dans les bouchons n’allume pas sa radio pour entendre Bruce Willis lui parler dentition canine. 

Pourtant, la publicité continue de façonner le paysage urbain et notre quotidien, allant même jusqu’à s’inviter dans l’intimité de nos foyers comme une vieille amie névrotique en mal d’attention. 

Alors pourquoi la laissons-nous faire ? Parce que, bien des fois et malgré son caractère invasif, la publicité nous touche. Parce qu’au-delà des contes mercantiles, c’est d’abord notre histoire que la publicité raconte. La publicité, la vraie. Celle qui nous connaît mieux que personne et qui s’amuse avec nous de nos déboires et de nos bonheurs quotidiens. 

Une publicité sincère, créative et juste, qui donne plus qu’elle ne réclame. Une publicité qui donne de l’espoir, du sourire, de la beauté et surtout qui nous donne à réfléchir et à agir pour ce qui compte vraiment.

Une nouvelle conception de la publicité donc, qu’il nous reste encore à écrire

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Stéphane Caoki

Date de publication

29 juin 2021

Durée de lecture

10

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Newbiz

Stéphane Caoki

Recrutement

Manuel Cornet

NOUVELLE VAGUE

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Manuel Cornet

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